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    Hé si je vous racontais une histoire, la nôtre !

    C'est triste et plutôt con, non ! Je sais ! A qui la faute ?

    Ce n’est pas toi, je sais ! C'est l'autre ! Beinh-voyons !

     

    Je vais essayer de l’égailler, mais ce n'est pas évident.

     

    Enfin, comme d'habitude, je vais commencer par parler un peu de Moa. Sans quoi, tu vas encore m'attribuer un tas de qualité que je n'ai pas, et encore plus, de tares injustifiées.

     

    J'suis taré, c'est sûr ! Autant que toi, et sur la même bascule.

     

    Mais avant de passer une larme à gauche, ce qui est pour très bientôt, je me suis livré à une rétrospective de la raie trop-spection instinctive. Et, avant de faire mon test-amants...

    J'ai tenu à faire l’âne à Lise. J’ai pas eu besoin de forcer pour çà.

     

    J'en suis arrivé aux conclusions suivantes :

     

    Je suis un Con !

                           Je suis un Pourri !

                                                 Je ne suis qu’une Merde !

                                                                               Mais oui !...

     

    Ce qui me chagrine, c'est que vous me ressemblez, en pire,

    et, que vous êtes tout juste bons à mettre dans au même panier.

     

    A part çà, je suis un fils de Bonne-famille.

    Ma mère était Bonne, dans le genre Beau-niche.

    Mais je suis aussi fauché. Un vrai Pro. Un pro-lait-taire sentant.

    Pas le genre Coco, Socialo, C.G.Tiste ou c'est-jeté, non !

    Un Con qui bosse fort, pour nourrir sa famille, et,...

    Surtout, surtout, payer ses impôts ! Et, Jean-Paye.

    Même si je m’efforce à en payer le moins possible.

     

    Ce que j'ai à te dire est si triste, si dégueulasse, que je ne sais pas, par où commencer. Je tourne autour du pot, comme les Bébés, en espérant ne pas faire comme eux, ni, de faire à côté.

     

    Tu sais ce qu'on trouve généralement dans un pot de chambre ? Devine ? Tu ne trouves pas que çà nous ressemble… Non ?

    Regarde le pot de chambre. Regardes-toi à présent dans la glace.

    Alors ?.... Hein !

     

    Attends ! C'est rien ! Tu vas en fin Con naître, la suite.

    Comme disait la chanson :      Ici gît une feuille morte,

                                           Ici commence mon test amant,

                           On écrira dessus la porte :

                                          Un de moins, et, pour longtemps.

     

    Ne t'inquiètes pas, tu vas me rejoindre, c’est très proche.

    Entre-temps, je préfère ne pas te quitter des yeux.