Pour mon père

 

c'était le port ou il avait travaillé d’abord comme ouvrier chez Terrin  réparation construction naval,  puis transitaire à la saamc.

 

C'était aussi, c'est amis, l'anisette , la kemia  et quelque autre spécialité locale telle que la soubressade, montecao, frita, fritenga etc.

 

La pêche également, ponctué c'est loisir. Lui est moi, partions à cinq heures du matin traquer les rascasses, rougets et autres, qui sévissaient, dans les calanques aux alentours d'Alger.

 

C’était également, l'appartement de deux pièces cuisine, toilettes sur le balcon, que nous louions au 3, rue François Seranno – 1er étage droite.

 

C'était un logis si exigüe que seul deux lits pliants, 80 et 120 cm, pouvaient si insérer,, en poussant la demie table contre le mur et la porte d'entré c'est la que nous dormions ma grand mère ma sœur et moi.

 

Le balcon et les deux fenêtres donner sur une cours si étroite, qu'en se penchant l'on pouvait échanger avec la voisine des revues, des couverts et même une fois un paquet de café.

Une  cours si profonde, qu'un rayon du soleil n'atteignait le coin gauche de la fenêtre de la chambre de mes parents que le 20 ou 21 juin, cela était presqu'une cérémonie car nous nous réunissions à midi pour contempler le féerique spectacle.

 

Plus tard après sa retraite et la mort de ma mère il eu sont coup de foudre pour la Bretagne et d'une certaine bretonne jusqu’à ça mort.

 

 

Pour moi

 

C’était la boutique de madame Nivart, elle trônait, sur sa droite des demies barils de morue salée,  devant elle une balance, des bocaux en verre contenaient  des condiments, d'autres des anchois, des féves, pois chiche, poivron et autres denrée culinaire vendu au détaille, concombres, sardines,  et autres dont je me souviens que des couleurs.

Elle faisait des merveilles quand elle élaborée avec le pain cueillit quelque minute plus tôt dans la boulangerie de l’autre coté de la place silencieuse que troublait quelque fois le bruit de la crécelle du marchand d’oublie,  , des sandwichs oint d’une gousse d’ail  et d’un filet d’huile d’olive, et garni au goût du client (un vrai quatre heure quoi)

Mais avant tout, là sur la devanture, se dressait, un autel vouait à la gourmandise,  la petite vitrine aux bonbons à un Franc. Réglisse, Zan, Caramel, boule de couleur, cachou, un trésor que même celui d'onc Picsou n'égalerait jamais.

Le reste du magasin, sol, étagère montant jusqu’au plafond étaient couvertes du produits dont  Prévert n’aurait pas renié l’inventaire,  allant du baril d’alcool à brulé au vin, tiré à la pompe à bras, en passant par le savon noir ou de Marseille, soude, balai serpillières,  etc. etc.

 

C’était  en plus de ma mémé à moi, de toutes les mémés qui habitaient prés de l’appartement de mes parents.

La Mémé d’en bas : Aveugle et souffrant d’Alzheimer, elle débitait que des insultes et gros mots catalans,  et autres langues. Cela avait fait de moi du haut de mes 4 ou 6 ans un spécialiste en insultes et  gros mots  dont j’ignorai totalement le sens et qui me valurent beaucoup de sanctions.

La Mémé d’à coté : Veuve d’un officier de la première guerre mondial elle souffrait de kleptomanie. fallait bien quelle cache sa misère et puisse ce nourrir. Trés 19éme elle pensait que seul les femmes de mauvaise vie portées des sous-vétements ce qu'un jour j'ai constaté du haut de mes 6 sept ans

Et en face de l’immeuble  au n° 4  de la rue, vivait Mémé d’en Face. Elle soignait l’enfite et le soleil, qu’elle apprit, ayant trop de patient, un certain jour à ma Mémé.

 

 

 

Pour ma soeur.

je me rappelle, aussi de l'appartement, la chambre si petite, que pour y mettre une armoire, mais parents avait du la pauser sur des parpaings afin de pouvoir l'ouvrir.

Le lit d'une personne, avait était rallongé par une planche posée sur des parpaings. Quand la sage femme est venue, pour ma naissance, elle a mis un genou sur le bord du lit, et elle à fini sur le derrière. car la planche c'était soulevée). Je revois maman, debout sur le lit car c'était le seul moyen, de prendre quelque chose dans l'armoire.

Les fils électriques de interrupteur, était dénudée, (heureusement que c'était encore du 110 volt!)

On dormait à 3 dans deux lits pliants. La journée, ils étaient pliés le long du mur, et la table tiré au milieux,

La salle donnée sur une porte fenêtre, là un balcon intérieur, avec une porte donnant sur les Wc à la Turc.

Papa avait eu l'idée de relier par un tuyau d'arrosage et une pomme de douche le seule robinet de la maison. on pausait une grille sur les WC, et une personne restait dans la cuisine, et l'autre se douchait. On entendait, " ouvre l'eau... plus de chaud! ...Aïe, non moins! " et moi je me marrais.

La cuisine était très petite et très meublée. aussi, quand une personne y entrait, et voulait aller dans le fond, elle devait faire sortir l'autre qui était dedans, et ensuite, pour sortir, pareil.