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Les
Chleus avaient pris possession de la Pologne, de la Belgique, des Pays bas, de
la France et d’une partie de ses colonies. L’Italie
était pro-Nazi. L’Espagne qui sortait d’une guerre interne, jouait
copain-copain. Et
nous Français, comme d'habitude, avec notre grande gueule, et, pas grand chose
dans le froc, on s'était mis dans un drôle de merdier. Le pied, quôa ! Il
était quand même un peu Con ce brave Hitler ! C’est vrai ! Il
avait déjà fait à l’époque, l’Europe à lui tout seul. Long-pré-temps,
à présent, que ce serait un certain Jean Monnaie, Qui
pour avoir quelques billets, aurait eu cette idée. Facile non ! Surtout
qu’Adolphe n’est plus là pour affirmer le contraire. Les
Américains faisaient du commerce et des affaires. Ils
n’envisageaient pas d’un bon œil d’entrer en guerre Contre
l’Allemagne. Après
l’attaque Japonaise de Perle à Rebours, en décembre 1941, Rose-svelt,
le président des États Unis déclarait : La
guerre moderne à la Nazie est une répugnante affaire que nous détestons. Nous,
nous ne voulions pas y entrer, mais on va y être obligé un jour ou l’autre, le
plus tard sera le mieux. En
définitive l’on s’aperçoit que comme pour la Bosnie... L’Angleterre
et la France avaient déjà fait dans la connerie. Que,
les Américains n’en avaient rien à foutre. Ils
étaient même à-Mi-ami avec Adolphe. Les
Russes étaient avec les Allemands, et, en profitaient pour en tirer le maximum
de profit. Les Italiens avec Mussolini étaient pour la
collaboration avec les Nazis et il leur
arrivait même, de prendre les devants. Les
Belges et les Hauts-Landais étaient sous l’eau-cul-pas-scions. Comme
d’habitude, les Suisses étaient neutres et s’empressaient d’ouvrir des comptes
ânes-aux-nymes pour récolter le maximum de fric. Y’a pas à dire, c’est encore
eux les moins Cons ! Depuis, les Juifs s’insurgent contre le Con-porte-ment
des banques suisses qui s’emploient à conserver cette monnaie. Toutefois, Juifs ou pas, transférer son pognon à
l’étranger, alors qu’il fait défaut dans son pays, c’est une trahison une
traîtrise. J’ai du mal à admettre que certains puissent
préférer leur fric à leur patrie en le mettant à l’abri ailleurs, pendant que
d’autres payent de leur vie pour défendre leur patrie. |
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