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    Ce ne sont que les élèves des premiers qui ont formés les troisièmes,

    Et, les élèves des seconds qui ont formés les quatrièmes, et, ainsi deux suites... C’est toujours la même eau qui coule  (M.S)

     

    Et pendant ce temps là... Pendant que la Mère-Edith se marrait comme une Bas-laine... Les médias s’en donnaient à cœur-joie.

    Tu pouvais lire dans la presse locale, un tas de connerie :

     

    L’armée Française a : Une plus grande valeur, qu’à aucun moment de son histoire... Elle possède un matériel de première qualité....

    Des fortifications de premier ordre... Un moral excellent et un haut Commandement remarquable... J’affirme que nous gagnerons la guerre. (Géné râle Weygand 14/7/39)

     

    La France a mérité sa défaite. Elle a été battue parce que ses gouvernements, ont, depuis un demi-siècle, chassé Dieu de l’école. (Géné râle Weygand 1940).

     

     (Les Généraux, aussi, çà change d’avis comme de chemises,

    Ex : Les deux-gaules, Pareils, on s’entre-tue avant de se marier)

     

    La France a conscience de sa force invincible (Paris soir 4/9/39)

    Il apparaît à tous, d’une façon indiscutable, que les alliés ont déjà Gagné la guerre (L’œuvre du 1/1/40)

     

    Le repli des troupes Franco-britanniques apparaîtra plus tard comme un Chef-d’œuvre et comme la plus grande stratégie militaire de tous les temps... poils aux dents. Eh toi tu crôas encore tout ce qu’ils te disent

     

    Je me souviens d'un soir, dans mon patelin. Tout le monde s'était réunis sous la fenêtre d’un voisin pour écouter la radio nationale.

     

    A l’époque, les postes de radio dénommés ’’T.S.F’’  étaient rares. Et, ceux qui pouvaient s’en offrir un, encore plus rares.

    Il n’y avait que très peu de postes émetteurs. Radio France, Monter Carlos, Luxe en Bourg, éh Endort.

     

    Celui qui nous avait claironnés quelques temps eau part à vent :

    Nous vaincrons ! Parce que nous sommes les plus forts !

    Notre très cher président du conseil du moment,

    (L’équivalent de notre premier ministre actuel) d’une voix des espérés, nous apprenait que, tout était fini...

    Qu'il nous fallait malheureusement se résigner à déposer les armes. Il n’y avait pas d’autres solutions.

     

    A l'annonce de cette défaite et de ses conséquences pour la France, tout le monde pleurait obstinément et avec résignation. Aussitôt, toutes nos routes, surtout la Nationale Sept et celles qui allaient vers le midi, étaient envahies par une population fuyant patriotiquement l'ennemie, en emportant le maximum.

    Juste pour ne pas laisser trop de richesse à  l'envahisseur.

     

    Long aurait dit le Rush des vacanciers du mois d’Août, les Aoûtats, envahissant la côte d’Azur. Il manquait juste le Bison futé.

      Encore queue...  En ce temps là, il n’y avait très peu de vacanciers. Pauvresse oblige.