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    Ils n'ont donc pas faillit à l'honneur. Si la plupart des responsables civils et militaires ont réussi à se tirer rapidos, pour se mettre à l'abri... On a fait revenir d’Espagne un pauvre vieux con grabataire de 84 ans qui n'était plus dans le coup, pour lui confier ce qui restait de la France, pour la diriger, sous la coupe de l’eau-cul-pan.

    A son âge, il était tout désigné pour porter le drapeau et le chapeau.

     

    Heureusement qu'il y a eu Pétain. Fan de Putain. Sans quoi, ils m’auraient confié le commandement de la France En péril. Tu me vois avec un bâton de Maréchal Ferrant. Je pense qu'il a fait ce qu'il a pu et qu’il ne pouvait pas faire grand chose. Si non se prendre pour une vedette. Quand on est vieux, on est Con !

    Quand on est jeune, Aussi. Oh-Si ! Malheureusement...

     

    Il a cependant été con-damné à mort pour la défaite...

    Pour l'occupation, pour avoir collaboré avec l’haine-mie.

    Peut-être était-il coupable ! Mais à son âge qui aurait fait mieux ?

    Lui au moins n'avait pas déserté. Il ne s'était pas enfui devant l'ennemi. Il avait, paraît-il, pactisé avec les Allemands. Oui mais, il ne s’était pas marié avec eux, lui !

     

    Un peu plus tard, j'ai connu un Général célèbre, qui en a fait tout autant, si non plus. Il n'a pas été condamné lui. Non ! Juste adoré.

    Pourtant il s’est uni ; lui, maritalement avec l’ennemie, contre l’avis et l’intérêt de ses alliés bienfaiteurs.

     

    Quelques généraux, qui n’étaient pas de son avis, ont eu aussi des ennuis. Les Instits de l’époque, fonctionnaires en état de décrépitude, s’étaient déjà tous convertis au Vichy, mais sans restriction. Ce n’était pas encore limité à deux verres.

     

    Ils apprenaient aux tout jeunes mômes innocents, à adorer ce cher Maréchal. Pas le Ferrant, non ! L’autre le Pet-teint .

    Tu parles d’un patriotisme.

     

    Cela ne les a pas empêché de Con-damner les autres après, et, d’applaudir les envahisseurs conquérants libérateurs.

    Maintenant, si tu les écoutes, ils faisaient tous de la résistance, et, dans le mât-qui. C'est gonflé ! C’est quand même eux qui m’ont apprit à chanter :

    Maréchal ! Me voilà, devant toi, le sauveur de la France.

    Ils m’avaient même demandé de lui écrire une gentille bafouille pleine de reconnaissance, de remerciements et de ficelle-installation. Depuis, ils se sont tous reconvertis en Coco-thismes-Socialos.

    Ils matraquent politiquement et avec os tante à scions, les boyaux de la tête de tes gamins, dés leur plus jeune âge, avec des lavages de cerveaux, sur les beautés et les avantages du communisme, du Socialisme, du Saint-dit-Kalysme, et, du

    Je m’en-foutisme.

     

    Et oui, c’est à l’école que çà commence pour vos mômes.

    Tu as écouté la réponse radio-t’es-laid-visé  du môme, sur les raisons des grèves des instituteurs.