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Regarde
ces Humains ! Cons-temple-les ! Observe-les ! Dans
ce sublime tas de merde, tu va enfin pouvoir te reconnaître. Mais, presse-toi
avant que de dix-paraître. Oh
! Grand Con bouffi d'orgueil ! Oh ! Abruti vaniteux ! Oh
! Con sensé béni des dieux ! Oh ! Génie de mes deux ! Pour
qui te prends-tu ? De quel droit ?
Comment oses-tu ? Tu
n'es arrivé sur terre, qu'engendré par quelques Mamies-faire. Tu
descendrais d'un singe, qui descendrait d'un arbre. Tu
n'as, quant-à toi, jamais su, ni pue, descendre, tout seul, et
sans échelle, d'un arbre, même gêné-à-logique. Tu
aurais été enfanté un jour d'hiver, par une vieille Guenon, qui,
avait eu l'impudence de s'accoupler à un Bouc et mi-Cerf. Des
singes ?... Oui !... Des gueux?...
Non !... C'est des
gueux-lassent. Caen
je vois certains de tes Cons-frères velus, non rasés, hé poilus, je
ne peux que me rendre A. Levy-danse : C'est
le singe qui descend de l'homme ! Pas l'inverse ! Pourtant,... Depuis tu plastronnes !...
Tu te prends pour Herr-Cul !...
Ou, pour un Dieu. Tu fanfaronnes !...
Tu es, on ne peut plus ridicule !... Car
si lui, il avance, toi, tu recules !... Tu oublies un peu vite, que
l'espèce humaine, est une race en voie de dix
paritions prochaine, et que l'humanité, soit disant
souffrante, n'en à pas encore fini de souffrir,
pour autant. Regagne ton rang, parmi les Annies-môts.
Rejoins ta place, parmi les
bourriques-Ôh !
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