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    Dieu ? Qui l’a vu ?...

     

    Moïse ?... Il était parait-il en train de se faire bouffer sur le radeau par les méduses. Il l’avait vu tout bébé et l’aurai reconnu cinquante ans après, dans une soirée nocturne. S’il est resté si longtemps là haut ce n’était que pour graver le message des dix commandements, Il n’y avait pas encore de Sténo-Dactylo à l’époque.

     

    Pourquoi Dieu n’est pas apparu devant tout le monde ce jour là ?

    Avait-il peur qu’on le reconnaisse ? Ou refusait-il de passer à la télé ?... Pourquoi a-t’il préféré attendre cinq milliards d’années,

    pour apparaître, enfin, mais en privé ?

     

    La dernière fois que je l'ai vu... Dieu pas Moïse...

    Il était là, las et fatigué. Il m’a avoué :

    Ce n’est pas Moa !... je n’ai pas pu les faires aussi Cons !...

    J'en ai marre de tes Cons patriotes. Tu ne peux pas savoir...

    Ils sont tout le temps en train de pleurer misère...

    Sans arrêt, en train deux quais mander.

    Je ne peux quand même pas faire sans arrêt des miracles !

     

    Messieurs les religieux... Vous vous êtes servi de lui, et, vous continuer de le faire uniquement pour nous donner vos ordres.

    Nous transmettre vos messages, vous donner de l’importance.

    Pour nous dominer, et surtout nous piquer tout notre fric.

    Pour faire de nous, pauvres Cons, trop crédules, des esclaves soumis à votre volonté, à votre foie, de quoi attraper une six roses.

     

    Monsieur le Sous-vérin Pont-tif ! Rome la Chrétienne a un peu trop vite oublié l’attitude des Romains. C’est tout de même eux qui ont massacré les chrétiens. C’est bien eux qui l’ont crucifié, le Christ. A l'époque, c’est vrai, ce n’était pas très catholique.

    Depuis, vous nous l’exposez le crucifié dans toutes les églises, et à tous les carrefours. Vous avez l’air d’être fier de vous, et, de ce que  vos ancêtres ont fait.

     

    Personne, il est vrai, n’a trouvé mieux comme publicité.

    Et, celle-là vous rapportait, le paquet ! Moins maintenant.

    Tiens, une autre,  Jeanne d’Arc. La Calcinée !

    Jugée par un tribunal ecclésiastique, présidé par un nez-vêques, Mon Seigneur le Cochon, ce Porc !  Elle a été Brûlée vive à Rouen.

    Était-ce pour respecter les consignes du Christ et de Dieu ?...

     

    Soyez Bons ! Soyez Généreux ! Soyez Charitables !

    Mais la Puce-elle... Nous, on va se la faire ! Et pourtant...  

    Il a fallu attendre pas moins de quatre cent cinquante ans...

    Moultes négociations, insistances, et réclamations de la France, pour qu’à Rome cette ordure et le Pape ce fumier, acceptent de la Béatifier puis de la Canoniser.

     

    S’Ils l’avaient canonisé de suite... Elle aurait souffert moins longtemps que sur le bûcher, non !