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En
travaillant elle même, huit heures par jour, plus deux heures de trajet, il ne
lui reste plus qu’à emprunter à son mari, l'ami de Marie, 900 €
tous les mois, pour payer sa bonniche. Elle se trouve donc obligée et contrainte de se taper son
nez-pou, ce qui l’oblige à se farcir son mari, qui rit comme un Ara-qui-rit.
En
effet si c’est Eux-gêne qui paye la différence, en râlant, il devient de plus
en plus Con-trés-niant, et même très Nian-Nian. Faut
voir tout ce qu’il lui demande et l'oblige à faire en échange. Un
chantage abjecte.... Quelle exigence. Autant faire la Pute ! Enfin,
ce n’est pas grave... Il n’y a pas que du négatif. La
bonne aime beaucoup ses enfants, et, s’en occupe très bien. Les
enfants aiment aussi beaucoup la bonne niche... Maintenant,
ils l’appellent Maman. Elle a un bouleau qui lui plaît, elle aurait préféré un sol-pleureur,
ou un cèdre. Mais, on ne pas toujours, avoir ce que l’on
veut. Si
elle ne bossait pas, elle n’aurait pas de Beaux-Nich... on suppose que, Sans
Bonne-niche, elle serait Con-trainte et même obligée, de se farcir, en plus de
son Jules et de son nez-poux : Le ménage, L’allée-Sive, l’Avé-scelle, la
cuisine, les gamins, la voisine, etc... On vient de lui donner un tuyau pour
économiser sur la bonniche. Tu
optes pour le chèque emploi. Tu
ne signes un chèque que pour une demi journée par semaine. Le
reste tu le payes aux noirs, non déclaré. T’as gagné 70 %. Avec
ton carnet de chèque emploi service, même en cas de
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