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    A nouveau, tu revois : cinquante neuf cent quatre vingt dix neuf mille, neuf cent quatre vingt dix neuf Français, se précipiter dans les Aigles-Ise, les Six-Nagogues, les Sires-les-Temples,

    les Moches-quais, les Sim-Thiers, pour vénérer cet homme irremplaçable, rejeté quelques temps au para-vent, et avec juste

    raison, peut-être, comme un pourri.

     

    Il est vrai, quêtant au riz-gin-hère de j’Arnack,

    il ne pouvait que devenir un spécialiste de l’Art-Narck.

    Il avait appris la Con-jus-gaie-zon :

     

    Ch’t’arnack, Ch’l’arnack, Ch’vous arnack, Gelée Arts-nacks

    Certains Mâles intentionnés, prétendent que les Français changent d’avis comme de chemise ?...

     

    Ce n’est sûrement pas ceux qui ont fait mille kilomêtres en voiture,

    Seins-cents-allée, Saint-Saens-retour, et, vingt kilos maîtres à pied...

     

    Ceux qui ont dépensé une fortune en roses socialistes et se sont tapés la queue pendant trois heures, pour déposer ces fleurs, à quelques centaines de mêtres, de l’homme à la rose, qui vont changer d’avis. Surtout qu’ils ne changent pas souvent de chemise.

     

    Ils sont excusables, ils on tété matraqués par les médias...

    Vingt heures par jour pendant sept jours. Ils n’en dormaient même plus la nuit. Vraiment pourris ces médias. Ils te font avalés tout et n’importe quoi.

     

    Tu veux des exemples ? Tiens deux ou trois les plus anciens.

     

    Tu entends : Un Gitan se précipite avec son fusil dans un Bistrôt et tire sur des Maghrébins. ’X’ morts, ’X’ blessés.

    Il avoue, un peu plus tard, avoir agit par vengeance personnel.

     

    Quand tu entends cela, même si tu es raciste, tu as tendance Ah !

    le Con Damné. Ce qui est normal.

     

    Tu apprends par la suite, mais par accident, que ces Maghrébins

    se sont mis à une dizaine pour tabasser et lyncher son père,

    qui est rentré à moitié estropié chez lui.

     

    Son gamin à pris le fusil et s’en est allé venger son père....

    Là, tu as un peu plus tendance à lui accorder des circonstances

    ex-ténuantes.

     

    Une Musulmane arrose d’essence l’amie de son frère, une Chrétienne et lui met le feu. Dans le Parisien, Quel Con celui là,