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C’est
pourtant simple, si tu es contre l’avortement... Pas
de problème ! Tu n’as qu’à prendre le môme, et l’adopter. Cela
te reviendrait peut-être trop cher ? Pas folle la guêpe !... Tu
es là pour râler, pas pour payer. Ah bon !... Là
aussi, il y a un tas de fonctionnaires et de politiciens véreux, À
pendre par les pieds, sur un nid de guêpes... Jusqu’à
ce que mort s’en suive. Combien
de couples très bien, très aisés, sans problèmes, mais ne pouvant pas avoir d’enfants, se sont vu refuser, pendant des dizaines d’années, l’autorisation d’en adopter. J’en ai connu quelques-uns qui avaient tout ce qu’il fallait
pour çà, l'envie, la gentillesse, la générosité la tendresse et en
plus, du fric. A la cinquantaine, pour réaliser leur rêve, leurs vœux le
plus cher, pour pouvoir enfin se faire appeler Maman, Papa, ils ont été contraint, d’acheter des enfants en Asie ou en Amérique du
sud. Pourquoi leur avoir refusé
l’adoption ?... Bandes de Fonctionnaires Pourris !... Ils sont mieux à la DASS, ou chez Orphée-Lina. C’est la loi !... Pourritures !... Cela justifie votre emploi, Même, si cela ne justifie pas votre salaire. Qui
s'est sérieusement penché sur le problème de la natalité ? Qui
?... Le Pape entre deux gueules-thons ? avec la Sous-Pape. Il
vaut mieux faire des enfants, les laisser vivre de mendicité... Les
laisser mourir de faim et de froid, ou les laisser vivre... dans
n'importe quelle condition. Cela
ne survit pas que de simples prières, un môme. Est-ce
que vous savez qu'il y a encore au vingtième siècle, en Amérique du Sud, en
Afrique, et, même en Europe, dans la CEE, parfaitement, des mères qui
abandonnent leurs enfants. Il
y en a même qui jettent leurs nouveaux-nés aux ordures, où
ils sont dévorés, vivants, par les rats. Incroyable, mais vrai. Hélas ! La dernière, l’ananas qui étouffe son môme avant de le
maître au Congélateur pour se rendre tranquillement à une soirée-galante. Qui
a demandé à ces bébés, entre deux morsures, s'ils
préféraient mourir, un peu avant de naître, ou
sur leurs tas d'ordures, des ordures que nous sommes. Ne vaut-il pas mieux laisser leur mère avorter, gratuitement, essayer de les comprendre, les aider à surmonter leurs problèmes. |
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