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Et une cassure entre les générations. Cela fera sûrement le bonheur des français.

Un jeune qui travaille pour un salaire de misère est peut-être content, mais il dépense plus que le vieux qui ne bosse plus, et n’aide plus ses mômes et sa famille et n’hachette plus rien.

Cela fera surtout le bonheur des tôliers. Ils te prennent un jeune qui ne leur coûte, avec l’aide de l’état, que 25 % du salaire d’un vieux. L’ennui, c’est que cela ne dure qu’un temps.

A la fin du contrat, ils te le virent et reprennent un autre jeune,

pour bénéficier encore et à nouveau des mêmes avantages.

Quand tu penses que même dans la fonction publique, même dans l’éducation nationale, ils t’embauchent sous contrat de solidarité, pour une durée de six mois, afin de bénéficier de l’exonération des charges sociales et primes de l’état.

A la fin de contrat, bien que tu te sois démené, alors que la place est toujours vacante, ils ne t’embauchent pas, ne te renouvellent pas ton contrat, mais pour bénéficier des mêmes avantages, ils te licencient et en prennent un autre en remplacement.

Ils poussent même plus loin dans la pourriture, en te demandant,

à toi le licencié, de former ton remplaçant qui doit te remplacer.

Cela me donne des envies de meurtre ! Et toi ?...

Des centaines de millions de jeunes de par le monde, et même,

des moins jeunes sont prêt à bosser et à te faire le même travail :

Deux fois plus vite, deux fois mieux et deux fois plus longtemps,

pour un salaire dix fois moins élevé et sans protection sociale.

Donc sans charges sociales. Ce qu'ils font d'ailleurs.

Le chômage ne se résorbera pas par une formation théorique. Jamais ! Mais, uniquement sur le tas avec création d'emploi.

Et là, ma-cache ! On ne peut pas créer des emplois.

C’est impossible ! Nous allons en perdre encore des millions.

Sauf si... L’ouvrier ou l’employer Français accepte de travailler, comme les asiatiques, pour cent euros par mois et sans charges sociales. Houx-que ... Mais là, il faut commencer par...

Il est vrai que, pendant que les jeunes sont en formation,

ils ne sont pas demandeurs d'emploi et exclus des statistiques,

ce qui arrange diablement ces fumiers de Bonnys-Menteurs.