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    Ils auraient même poussé un Ouf de sous-là-je-ments.

    En apprenant çà, ils n'auraient pu que faire la fête.

     

    Il a une maîtresse ? OK passons. C’est pas notre problème.

    Cela ne nous regarde pas. Mais si vous l’aviez su…

    Cons comme vous l’êtes, vous ne Laurier pas élu.

     

    Ils avaient même commencé à en parler.

    Cela a été vite étouffé. Secret des-tas.

     

    Alors on te joue la comédie. Il s’offre un Chat-tôt.

    Avec notre pognon bien sur, pour abriter leurs amours.

    Là on ne peut regretter que notre pognon.

    Pour le reste... c’est Toubon.

     

    En Novembre 81, il est gravement malade, il nous joue Ben-Hurr.

    Admettons qu’il ne l’ai apprit qu’aprés son élection.

    Il ne peut pas faire autrement. C’est trop grave pour la France.

    Trop important. Silence ! Il nous faut le lui pardonner.

    Mais, et pour cela, personne n’en parle.

    Ni le Parti, ni les parties, ni les médias, ni les Français.

    Pas même le Pape est encore moins Mon Seigneur...

     

    Passons admettons ! Il est élu pour sept ans.

    Il apprend qu’il est gravement malade et qu’il n’en a plus que pour quatre ou cinq ans maxi. C’est triste, non ?

     

    Il met le paquet et essaye de conserver la présidence.

    Il en a tellement bavé pour l’obtenir ce poste de président.

    Il en rêvé depuis si longtemps....

     

    Allez ! OK ! On lui pardonne. Oui ? Non ? Peut-être ? Enfin !

    Après tout pourquoi pas. Un autre aurait tété aussi pourri.

    Mais, au bout de sept ans, alors qu’il est encore plus agonisant...

    A l’or qu’il le sait, pourquoi se représente t-il de nouveau ? Hein !

    Parce que c’est un pourri. Parce qu’il ne veut pas lâcher le

    morceau. Parce qu’il se prend pour le Roi, pour le Phare-à-’On’

    Pour l’An-Perreur Nappe-au-Néon V. Pour Dieu le paire.

     

    Et, se sachant Con damné, il prend tout mon pognon, et, une partie du votre, pour le dilapider, en mausolée, en Bibli-au-Teck, en

    Eau-paira, Empire-Hamid érigées à sa gloire et à sa mémoire.

     

    Il s’est bien foutu de notre gueule, jusqu’au bout.

    Il doit encore se fendre la pêche dans son cercueil.