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Et là, c’était l’occasion rêvé, pour prendre un peu de pognon,

En deux coup de cuillères à pot, avec un petit Bouc-hein !

Et bien non. Lui et Flon, l’ont eu dans le fion.

Interdit ! Défendu ! Verpoten ! Kapute ! Nixt ! Forbidden !

Dommage ! C’était bien parti, ils auraient battu tous les records. Quarante cinq mille boukins en une journée.

Moyennant une commission, les Tri-Bunaux sont revenus sur leur décision par la suite. Puis revenu à nouveau une seconde foie, pour prélever un pourcentage sur les bénêts fils, et les redistribuer.

L’autre, ce n’est pas mieux, il te joue les Inters pas très net, et,

Diffuse plus de cent mille contrefaçons frauduleuses du bouc hein.

Il faut vraiment être pourri jusqu’à la moelle des os, pour se précipiter ainsi dans les librairies, pour s’offrir ce Paris Match

et ce bouc-hein. Chers Con-patriotes, ou pas, vous m’écœurez !

C’est vrai qu’on à beaucoup de mâle à être l’un sans l’autre.

Je n’ai pratiquement jamais acheté de Paris-Match.

Mais je peux te garantir, que je n’en achèterai plus.

Je le déclare en boy-côte, et le met en an-barre-go !

Idem pour les-Diteurs Messieurs Fion.

C’est à souhaitez qu’il laie dans le Fion. çà y est ! Gagné.

Je peux même vous garantir que je ne manquerai pas de faire

la gueule à ceux qui ont acheté ce Canard et ce Bouc hein !

J’ai honte, honte que l’on puisse un jour me confondre avec vous.

Quand je penses que je lavais déjà lu le Grand secret, un jour au Bar-Javel où l’on te presse de la citer.

Je ne te parle pas des polémiques soulevées.

Les zobs-secs, dans l’intimité, mais devant les caméras.

Sa femme, ses enfants et sa petite amie.

Tous unis pour le même Con-bas.

C’était peut-être un peu trop, pour se foutre de notre gueule ?

Il était malade. Mais secret d’état. Motus bouche cousue.

Mieux, on va se foutre encore de leur gueule.

Et si on publiait un bulletin de santé, tous les six mois ?

En pleine forme, pas même un rhum à thisme.

Tu les entends maintenant : ils ne pouvaient pas faire autrement !

Cela aurait affolé les Français. Tu parles ! A l’époque...