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    Quelle bande de plouc’s ! Quelle bande de cons.

    Les cons vivent en bande, mais pas en bande Velpo.

    Encore queue, le Con te fasse souvent bander.

     

    Si tu les écoutes tous ces mort-fâles, j’te dis pas !

    Si tu les écoutes donc, ils s’envoient en l’air, rien qu’en te racontant ce qu’ils ont bouffer hier.

     

    Générale ment, un morceau de je ne sais trop quoi, bien faisandé, cuit au pot de chambre, avec un soupe-son, de pue-la-merde, le tout arrosé d’un brin des-pisses, mijotées tous les matins.

     

    Tu rajoutes deux ’’S’’  Cargos, ramassés par Azar, un jour de Canne-y-cul, au bord du lac Honte-à-Rio, par une Canne indienne.

     

    Tu les laisses M’ma-serrée, quelques années, au dessus d’une fosse septique, et, quand ils sont bien fumés,

    tu les étales, sur Canne-à-pets, avec quelques Pets-de-Nones.

    Mais pas n’importe quelle None. Non ! Des Nones de prés-bis-ter.

    Et, pas de n’importe quel pré-bis-terre. Non ! Des Prêts-pisse-terre, crées spécialement au douzième siècle par Riz-Char le grand, pour les-levages des Nones, jusqu’à maturité.

     

    C’est là queue, bien nourries, bien logées, bien chauffées, peu vêtues, elles s’épanouissent  pour l’éther-mité.

     

    Et, quand elles commencent à atteindre l’âge de raison, quand elles commencent à sentir mauvais, à puer Ducon...

    Tu te précis-pîtes, et tu attends patiemment, l’oreille tendue, dans un six lances religieux, avec foi, installé tout prés, devant son derrière, que :

     

    Les ’’P’’ sortent du  ’’Q’’  pour aller prendre l’R’’.

     

    Tu recueilles ainsi son arôme, plein de senteur, pour arroser, enfin, ton cas-saoul-lait en fleur,

    et soulever le cœur, de ta femme vexée, en pleures.

     

    Tu rajoutes quelques cuisses de grenouilles,

    Mais pas n’importe grenouilles, non !...

    Des grenouilles de bénitiers en pas-moison, que tu laisses mijoter à petit feu, à petit tas, avec du persil et du feu-Nouille, et, un peu de pue-rein faisandé de ton dada.

     

    Quand çà commence à roussir, quand  tes invités sont prêt à se farcir,

    Tu leur sers ta farce, qu’ils dégusteront à petits pas, qu’ils  trouveront délicieuse, un vrai régal, ou pas,

    Avec un petit goût de ceux ci, et, un parfum de cela.

     

    Pour couronner le tout, Hinault-çà-ment, tu leur sers, dans des verres en cristal, une larme de pré-fontaine, transvasée avec art, dans une vieille bouteille de Pomme-Art.Cela lui donnera du corps, et le rendra plus gouleyant 

     

    Met surtout, si tu veux être célèbre et Honoré, comme Balzac,

    N’oublies- pas d’inviter Jean Pierre Koff, un cône-et-sœur.

    Il fera ton éloge et publiera ta recette, dans les restos du cœur.

     

    C’est la reprise ! Deux-volets ! Ouais ! On ne dirait pas, hein !

    C’est vrai que tu n’y connais rien. Eux ils savent bien.

     

    Âne, frère Âne, ne vois tu rien venir ? Non ! Ah bon !

    C’est la reprise dans l’apéro spatiale. Ouais !

    On a encore des promesses d’achats.

    Des promesses, toujours des promesses !

    On va vendre encore. Oh ! Miracle, des mirages et des Herr-Bus.

    Toutefois, nez en moins, malheureusement, cependant...