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    Comme vous majorez sans arrêt les impôts, les taxes, et, les prélèvements, vous augmentez le coût des produits Français, et, réduisez également de plus en plus notre pouvoir d’achat.

    Il n'y aura donc pas de relances.

     

    Il y aura de moins en moins de débouché pour nos produits soumis déjà à une con-cul-rance aussi sévère que déloyale.

     

    Grâce aux politiciens, à nos gouvernements, et à la connerie des Français, manipulés par nos partis politiques, nos syndicats et nos médias, il y aura très bientôt en France dix millions de chômeurs.

    Peut-être même plus. Dix millions de chômeurs et autant qui craignent de l’hêtre, cela ne consomme pas beaucoup.

     

    La réduction de la consommation, cela réduit les taxes intérieures

    et la TVA, donc le budget de l’état. Dix millions de chômeurs, c’est dix millions d’exonérés fiscaux. Et moins d’impôts sur les revenus.

     

    Pour les tôliers, c’est pire, Ils importent et revendent a prix

    coûtant  les produits qu’ils fabriquent ou font fabriquer à l’étranger. Pas de benêts-fils en France, donc, pas d’impôts.

     

    Cela réduit encore le budget et les revenus de l’état.

    Ils vont être payés comment nos chers Ministres et députés ?

    Dix millions de chômeurs, cela réduira également hé Con-six- d’érable-ment le revenu des caisses des organisations sociales.

    Ces caisses qui, au lieu d’épargner nos cotisations, dans les temps meilleurs, se sont empressées de dilapider notre fric et leur trésorerie en frais de personnels, de croisières, de séminaires et de dépenses aussi somptueuses que somptuaires.

     

    C’est donc, dans les cinq ans à venir la faillite de l’état, de la France, de la protection sociale, de la fonction publique et de la cinquième Raie-publique.

     

    Et pendant ce temps là... La mère Edith est vannée...

    Elle se trouve à deux pas... Elle est bien emmerdée.

     

    L’état et le gouvernement continuent à dilapider notre pognon.

    Encore quinze milliards pour le mal des banlieues.

    Quinze milliards foutus en l’air. Mais ce n’est que mon pognon.

    Quinze milliards pour la Graisse. Alors ! Quinze milliards, quand ce n’est pas leur pognon... Qu’est-ce queux çà peut leur faire.

    Surtout si l’on peut prendre des commissions au passage.