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Manque de bol, on nez en plein Weeck-Inde, pour ne pas perdre trop de temps de repos, le Thé-double-vais-hâ est abattu trop prés des côtes, au vu et au su de quelques riverains qui filment le tout.

Alors pour noyer le poisson on étouffe l’affaire qui doucement, doucement se retrouve aux oubliettes et transformée en accident ou attentat. Pour rendre leur truc plus crédible, ils organisent un attentat, une bombe à Atlantat, avec le concours d’un de leur ancien agent, qui fait semblant de prévenir la police en échange de quelques menu monnaie et des vacances en tôle.

Il est très vite libéré et même félicité, ce qui n’empêche pas qu’il y ait  eu, là aussi, quelques dégâts.

Dans le domaine commercial et technologique, il y a aussi les               Jap-au-nez qui ont pris la quasi-totalité de certains secteurs.

Entre autres : La moto, La photo, la Hi-fi, l’informatique, la sidérurgie, les machines, la construction navale, l’automobile, avec dans ce domaine, une tempérance provisoire sur les exportations.

Ils investissent aussi beaucoup à l’étranger, et financièrement tiennent les américains en otage, bientôt l’Europe.

Les Américains refusent de régler leurs cotisations à l’ONU.

Ils sont membres permanents et ont le droit de veto.

Ils nous ont imposé l’implantation de l’ONU chez eux.

Ils donnent leurs ordres, mais ne payent pas leur quote-part.

Ils ne voulaient même plus de Boutros Boutros-gars-lit.

Il n’était pas pro-Américain.

Et comme d’habitude, on cède à la volonté des Hu-est-ce-âh.

Nous ne tenons, nous français, dans les secteurs de l’aéronautique, du rail et de l’armement, qu’en raison des interdictions faites, après guerre, aux Allemands et aux Japonais.

Mais on essaye de leur vendre gratuitement toute notre technologie avec l’aérospatiale et l’affaire Thomson.

Dans le domaine commercial, il nous faut également tenir compte de la concurrence insurmontable des pays asiatiques, et de certains pays de l’est. Tenir compte, de leurs conditions et durées des temps de travail. Des motivations de leur personnel, de l’absence de charges sociales. Des salaires minimes de l’ordre de 30 a 200 euros par mois, charges comprises.

Le prix de revient d’un ouvrier Français est au minimum de l’ordre de 1500 Euros par mois. Celui des pays de l’est, de l’Afrique du nord, des pays Asiatiques est de 40 euros, même les Portugais  étaient à 50 Euros maximum pour 60 heures de bouleau et dés l’âge de dix ans