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Pura fit son sac, et, après ses adieux distants, Elle ouvrit la porte.

Les enfants étaient arrivaient en courant et en pleurant.

- Ne t’en va pas Pura ! Maman te donnera à manger. Avait dit le garçon.

 

Pura était partie voir son amie, la concierge, elle lui laissa sa malle, puis, était allée au dispensaire. Elle avait demandait au docteur de lui dire la vérité :

- Je suis seule !... Je veux savoir la vérité.

- Vous n’avez rien de grave. Prenez ces médicaments et ce sirop. Ne vous inquiétez pas.   Dans quelques jours, vous irez mieux.

 

Son amie, la concierge lui dit : Je garderai tes affaires, et, elle l’envoya chez une dame qui chercher une personne pour quelques heures de ménage.

 

A son retour, ma grand mère lui dit que le propriétaire de l’immeuble veut bien te louer une petite chambre sous les toits. Je te trouverai d’autres clientes pour du ménage, ajouta t-elle

Pura eut ainsi plusieurs clientes et passait ses temps libres avec sa nouvelle amie.

 

Un jour, en ville, alors qu’elle regardait des photos exposées dans la vitrine du magasin d’un photographe, le photographe vint près d’elle et lui dit :

- Voulez-vous que je vous prenne en photo ?... Ce n’est pas très cher !

- Je ne suis pas assez jolie... et j’en ferais quoi, de vos photos ?

- Vous la donnerez à vos parents ou à votre petit ami.

Pura se laissa convaicre et fût photographiée.

Elle couru montrer la photo à son amie qui la mit sur le dessus de la cheminée de sa loge.

Dans l’immeuble, il y avait aussi un jeune homme très timide.

Il avait remarqué Pura. Il avait aussi vu sa photo, dans la loge de la concierge.

Il réussi à trouver la boutique du photographe, et, lui expliqua son problème.

- J’aimerai avoir sa photo !

- Je n’ai pas le droit de l'utiliser sans son accord. Si vous voulez m’apporter cette  photo, je pourrais vous faire une photo de vous avec l’image de la jeune fille au-dessus   de vous, comme, dans un songe. Vous n’aurez plus qu’à la lui offrir. Ainsi, elle comprendra.

C’est ce que fit le jeune homme, avec probablement complicité de la concièrge.

 

Après son travail, Pura, se changeait, puis allait voir son amie, dans sa loge.

Elles discutaient et se racontaient leur journée et les petites histoires du quartier.

C’est ainsi qu’elle croisait ce jeune homme qui, tous les soirs, lui disait un timide bonsoir. 

Elle s’appliquait à ne pas le regarder tout en répondant au salut qu’il lui adressait. 

Mais un jour, en la croisant dans l’escalier, il lui tendit un petit paquet rectangulaire et plat, tenu par un bout de fil à coudre.