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Telle que : Un jour qu’il pleuvait très fort. Il a plu des grenouilles.Depuis, j’ai vu à la télé, qu’une petite tornade avait vidé le contenu d’une mare, et, qu’il avait plu des poissons. Alors pourquoi pas des grenouilles ?
Quand
nous sommes allé en Espagne, voir le village où ma Grand-mère était née, j’ai eu du
mal à croire que la mer ait pu venir prendre ma Grand-mère dans la cuisine.La
mer était assez loin des habitations. Je
lui ai posé la question. Elle m’a dit qu’elle ne s’en souvenait pas.C’est
sa cousine qui nous l’avait raconté, mais elle n’y croyait pas non plus. Elle nous a élevé à la dur, ma Grand-mère, Mais, elle me manque parfois. Je me souvient quanq je pense à elle, de ses manie de répondre et de parler avec la télé: Quand elle voyait, à la télé, un personnage taper à la porte... Mémé disait : -
"Entrez" ..."Attention il est derrière la porte"... "Menteur ! Il
était avec l’autre" etc... C’était
très fatiguant. Elle me parlait aussi, quand j’essayai d’apprendre mes leçons. Je
lui disais : ‘Arrête !’ Alors,
elle se vexait et me disait : -
Moi ! J’ai appris à lire toute seule. Je n’ai pas eu besoin d’aller à
l’école. Elle
avait aussi l’habitude de faire des stocks. C’est vrai qu’elle avait été privé
de tout en étant jeune, mais, si elle trouvait un article moins cher, elle en
achetait des tonnes. On
en jeter souvent, car, les dates étaient périmées, avant de les
consommer,. Si
quelqu’un lui montrait comment et où récolter des choses gratuites, aussitôt,
elle se précipitait, c’était la ruée vers l’or. Un
jour, en Normandie, lors d’une grande marée, ma tante Janine nous a amené à la
pêche aux coques. Le lendemain, ma Grand-mère nous a ramené encore à la pêche
aux coques. Cela
peut être dangereux; surtout, quand on ne connaît pas cette mer qui ne
ressemble en rien à la Méditerranée. On
ramassait des coques et nous étions plutôt gelés. Je
voulais rentrer. Je lui dis qu’il était tard, que tout le monde partait et que
j’avais froid. Elle
m’a dit de mettre un journal sous mon pull, puis elle a continuer à piocher. Un
homme est venu à notre rencontre en courant : -
Madame ! il faut revenir, vite ! vite ! La mer remonte. -
Oui ! çà va ! On y
va ! -
Non ! Je vous ai dit qu’il fallait partir ! Tout de suite ! En
courant ! Vite ! Vite ! La mer revient ici, à la vitesse d’un cheval
au galop. Heureusement
que ce Monsieur a insisté: Nous avons courir, très vite, la mer sur nos talons, laissant notre récolte. Finanalement la mer nous a encerclé et nous avons du nager pour s’en sortir. Arriver sur la plage ma Grand-mère m'a embrassé en criant : -
Oh ! Mon Dieu ! On a faillit mourir. Merci ! Oh !
Mon ! Dieu !... |
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